Souffles
Revue de l’association "Les écrivains méditerranéens"
Contact
Direction littéraire
Jean-Pierre Védrines
126 rue du Canneau
34400
Lunel
1er mars 2011
Souffles, déchiffreurs d’inconnu n°234 - 235
Figure de proue : André Comte-Sponville
A la Hune
Marc Wetzel
Franck Archambault
Poèmes en archipel
André Ughetto, Yves Broussard, Anne Vocanson, José Muchnik, Marie-José Christien….James Sacré… Daniel Leuwers…
Ce toit tranquillr où marchent les colombes…
Friedrichn Nietzsche
Yves Bonnefoy
André Michaux
Archipels de la prose…
A te regarder ils s’habitueront…
Evelyne Morin
Pierre Maubé
Mickaël Glück
Fenêtre sur art
Alain Bonicel/ Bernar Mialet
Fleur de sel
Articles
Poésie dans la cité
Vie (…)
1er mars 2010
Fable blanche d’André Louis Aliamet
"Ton regard flottant sur le vide,
s’évasant, cheminant
vers l’aube aux trois-quarts
rougie, vers la pointe obscure
de ce jour,
ces vues secrètes
de l’aurore, tu les inventes
quand elles s’éloignent, aussi pâles
qu’une vapeur gardant les traits
d’un visages rêvé."
1er mai 2007
La rive adverse
"Du vaisseau natal ne reste que
l’avenir d’un voyage avorté.
Coule sur le corps l’âcre couleur
d’un lever d’inconnu. Qui pour dire ?
Une main, ou peut-être une voix,
s’approche, frôle, emmène le cri
vers le val de deux sources immunes :
C’est la première douceur à vif.
Un peu de matin dans le nocturne."’
1er septembre 2004
Villes
N° dirigé par Stéphen Bertrand
"Peut-être que dans ces nombreux reflets, contre toute attente, au fil des pas et des textes, la ville cherche par intermittence à nous ressembler, aguicheuse, dans la joaillerie pompeuse des plaques notariales où parfois se surprendre, clignant de ses néons comme de l’oeil, avec ses passages et ses passerelles (toutes les passerelles sont des ailes à agiter), ses raccourcis et autres taxis de la métaphore, fardée d’affiches, de "tags, belels incises", d’enseignes (…)
Poème
de l’instant
Le désert vivant
Au cœur du rien tout est floraison. La vie est un tout dans le tout, à prendre ou à laisser. Si je ne veux prendre que ce qui m’arrange, je perds tout.