Pôle artistique et culturel du collège Angèle Vannier
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Saint-Brice en Coglès
1er septembre 2013
Récits nomades
Illustrés par les élèves du Collège Angèle Vannier.
"Parole. Un mot intraduisible. J’aime ces mots qu’on ne peut pas imaginer dans une autre langue, infréquentables s’ils perdent leur sonorité. Ils se dessèchent, ils fanent et s’étiolent. Des papillons de nuit au matin. Plus rien dans les mains, dans la bouche, la salive. Des mots du dictionnaire. La langue raisonnable, balisée, signalisée, carrée. Des mots codes, des boîtes, des (…)
1er mars 2013
Hommages 2013
Textes de Jacques Roubaud
Illustrations de Serge Bouvier
Extrait :
Pour Gwen et Claude
Gwen joue des sons et les encage
Sans gêne dans le bocage
Au bord des eaux où rôde Claude
Mais voilà qu’ils partent aux antipodes ?
Ou est-ce dans le canton de Vaud ?
A Rouen, à Ecouen, à Saint-Ouen ?
Et c’est pourquoi s’offre cette ode
Avec nostalgie, avec peine
A Gwaude, à Clen
A Gwen
A (…)
1er mars 2013
La poésie pour mémoire
Samedi 10 mars 2012, Saint-Brice-en-Coglès devient village en poésie.
De toutes les communes de France, elle est la première à obtenir ce label décerné par le Printemps des Poètes.
La journée de labellisation est l’occasion de nombreuses manifestations autour de la poésie, organisées par la ville de Saint-Brice-en-Coglès et par le Pôle artistique et culturel du collège Angèle Vannier.
Colloque en présence de Charles Juliet et de Jean-Pierre Siméon, directeur artistique du printemps des Poètes,
Baptême (…)
1er juin 2010
On dirait qu’il fait beau
Pour marquer cette décennie en poésie, recueil de textes inédits de poètes qui ont fréquenté les collège lors des "Printemps culturels du Coglais". Serge Bouvier, professeur d’arts plastiques et plasticien a proposé à chaque poète une batterie de productions à partir desquelles ils ont pu aiguiser leurs mots.
Les poètes :
Guy Goffette
Charles Juliet
Vénus Khoury-Ghata
Abdellatif Laâbi
Jacques Lacarrière
Nicole Laurent-Catrice
Yvon le Men
Jean-Pierre Siméon
Illustrations de Serge (…)
Poème
de l’instant
« Le Voyage »
Mais les vrais voyageurs
sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir ; cœurs légers,
semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi,
disent toujours : Allons !
Les Fleurs du Mal