Poème inédit d’Anita Conti
Pourrais-tu ignorer
Que chaque jour, Pour Toi,
un ciel entier s’éclaire ?
À Tous les pas de cet élan
qu’est notre vie
À tous les jeux de cette rage
J’ai ouvert les bras
Et gémi
Et sur le grand vent refermé,
Au long des temps
Mes bras heureux brûlent encore
De leur désir.
Anita Conti, 4 janvier 1994, à Fécamp, Inédit.
Poème
de l’instant
« D’un ciel à l’autre pareil… »
D’un ciel à l’autre pareil,
passent les rêveurs
Anthologie
Traduit de l’arabe (Palestine) par Elias Sanbar
Éditions Actes Sud