Mon nom est Printemps, de Ben Arès

J’entends les chants des morts et des vivants, les chants autour des feux d’herbes, aux veilles des exhumations.
J’imprime les sons, voyelles d’une langue comme nulle autre aux étranges variations.
Je me remémore les visages des fillettes, petits garçons noirs, dessinés dans la chambre close de mon enfance.
J’ai toujours su que hier tenait déjà demain écrit sur les lignes de la main.
Paru le 1er mars 2013
Éditeur : L’arbre à paroles Maison de la Poésie d’Amay
Genre de la parution : Recueil
Poème
de l’instant
Coplas
La vérité vraiment vraie
jamais ne se cache en l’obscurité,
elle se cache en la pleine clarté.