Le Temps des cerises
Editions de poésie
Poésie étrangère
Poésie contemporaine
Type de livres : Poche
Mode de diffusion : librairie et vente par correspondance
Année de création : 1993
Nombre de parutions par an : 50
Tirage moyen : 500 ex
Accepte de recevoir des manuscrits
Editeur : Francis Combes
Tél : 01 42 01 45 99
contact@letempsdescerises.net
1er janvier 2007
Voix nègres, voix rebelles, voix fraternelles
Dans Voix nègres, voix rebelles, voix fraternelles, republié aujourd’hui dans une édition augmentée, Jean Métellus rend hommage, à travers une série de longs poèmes narratifs au souffle épique, à quelques figures marquantes du combat émancipateur des Noirs et, au-delà, de tous les êtres humains : Léon Gontran Damas, Martin Luther King, Albert Luthuli, Patrice Lumunba, Louis Armstrong, Cassius Clay, Steve Biko, Nelson Mandela, Ernesto Che Guevara, Mumia Abu-Jamal.
Ces poèmes, d’une grande simplicité, (…)
1er décembre 2006
Soleil noir ta peau d’Andrée Appercelle
Poésie Contemporaine
« Et déjà nous voilà rêvant d’une nudité absolue…
…La vérité n’est jamais dans les belles images qui partent en fumée dès qu’on tente d’y entrer : elle n’est fixée nulle part et demeure latente, mais elle se laisse parfois toucher dans la caresse qui ajoute au désir le respect de la vie telle qu’ensuite elle continuera sans vous. »
Bernard Noël
1er octobre 2006
Gestuaire des sports
Le poète Charles Dobzynski s’est engagé dans une entreprise hors du commun : consacrer un grand livre, au souffle épique, à l’ensemble des pratiques sportives olympiques.
Rares sont les poètes, français et contemporains, à s’être aventurés sur ce terrain. Charles Dobzynski va, avec un beau sens de la provocation, au-devant de cette rencontre inhabituelle ; et de cette confrontation entre le corps en mouvement et le verbe poétique naissent des images heureuses et inattendues, de vraies gerbes de (…)
1er juin 2006
La joie
Comme dans le métro parisien, à Montréal, des textes poétiques jalonnent les stations…
Ce recueil réunit 102 extraits poétiques diffusés dans le Métro de Montréal en 2004-2005.
"Ouvre l’une de ces journées sans ombres et quand le soleil s’entête au zénith."
"Etre là dans la certitude éblouie du seul fait d’exister."
"Je marche et cette ville marche en mon âme émue par un détail familier."
10 € - Coédition (…)
1er avril 2006
Les dits du meunier d’Alain Guérin
"C’est la beauté du livre d’Alain Guérin que de nous donner à voir, sans aucune réticence et avec le souci d’un examen multiforme, l’ubac de sa personnalité. La face sombre du miroir n’en reflète pas moins les étoiles, les soleils noirs et la dimension vertigineuse et embrasée du cosmos que sa face claire. "
15 mars 2006
Antilles Guyane, anthologie de la poésie antillaise et guyanaise de langue française
L’anthologie que voici propose une lecture décloisonnée de la poésie martiniquaise, guadeloupéenne et guyanaise, allant des premiers aînés novateurs et authentiques, nés dans les années 1880 et 1890, jusqu’aux contemporains, dont les plus jeunes sont apparus aux abords des années 1960.
Le lecteur pourra ainsi observer comment les mêmes thèmes, d’un lieu ou d’une génération à l’autre, se trouvent repris, modifiés, abandonnés ou enrichis, qu’il s’agisse de préoccupations collectives touchant l’histoire, la (…)
1er janvier 2006
La poitrine étranglée
Il est encore peu habituel que la poésie intervienne dans la rue. Son lieu d’expression reste malheureusement, encore aujourd’hui, le cénacle. Une poésie qui se préoccupe de la vie et des problèmes d’aujourd’hui, qui n’aurait pas peur de se frotter à l’actualité et à ce qui fait notre monde moderne ne serait-elle pas de la poésie ? L’usine, le chômage, la pollution, la ville…Voilà un auteur qui pourrait relever le défi d’une poésie contestataire française.
Biographie de l’auteur :
Alain Marc est poète et (…)
1er janvier 2006
Le Cahier bleu de Chine
Poème-reportage en Chine, Août 2005.
L’art de tuer le dragon
Tchouang Tseu
(le philosophe qui s’intéressait aux papillons)
rapporte qu’un certain Tchou Pingman
se rendit auprès de Tchi Li
pour apprendre de lui
l’art de tuer les dragons.
Il y consacra 3 ans de sa vie
et toute sa fortune
(qui n’était pas petite).
Hélas,
jamais il ne rencontra de dragon.
(Cette histoire,
de plusieurs points de vue,
n’a rien à voir avec la (…)
Poème
de l’instant
Épître V
Pour moi, sur cette mer qu’ici-bas nous courons,
Je songe à me pourvoir d’esquif et d’avirons,
À régler mes désirs, à prévenir l’orage,
Et sauver, s’il se peut, ma raison du naufrage.