La terre la plus étrangère
Auteur : Alejandra Pizarnik

Traduction de Jacques Ancet.
Achevé d’imprimer le 10 septembre 1955, La terre la plus étrangère est le tout premier livre de Flora Alejandra Pizarnik, qui le supprimera de sa bibliographie. Considéré comme une oeuvre de jeunesse par l’auteur, c’est le seul livre signé de son vrai prénom « Flora », auquel elle ajoute celui qui sera son seul prénom par la suite, prénom d’écrivain « Alejandra ». Renié car jugé extérieur et non pas antérieur à son oeuvre, ce livre ne sera jamais réédité avant la publication des oeuvres complètes en 2000.
« En réalité, La terre la plus étrangère est un livre étonnamment bon, et pas seulement pour une jeune fille de dix-neuf ans. Son seul défaut, c’est de ne pas s’adapter au futur modèle ; par contraste, il nous permet de mesurer ce qu’a de restrictif ce modèle, et la rapidité avec laquelle il s’est établi dans la vie et l’oeuvre de Pizarnik »
César Aira.
Paru le 14 octobre 2015
Éditeur : Ypsilon éditeur
Genre de la parution : Recueil
Support : Livre papier
Poème
de l’instant
La mue des cigales
Le poids de ce qui fut habite le plancher.
Stéphane Page, La mue des cigales, La Crypte, 2021.