La mort ne séduit pas les ivrognes d’Omar Youssef Souleimane
Je n’ouvrirai pas mon cœur
Nous sommes aussitôt revenus du froid des cimetières
Et nous avons offerts les fleurs et les victimes
Dans la pièce aucune tristesse
Dehors aucun bruit de guerre
Néanmoins l’enfer est un taureau
Et nos pensées sont rouges
Extrait du livre La mort ne séduit pas les ivrognes, L’Oreille du Loup, 2014.