Kamerun ! Kamerun ! d’Elolongué Epanya Yondo

Dans ce livre que l’auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c’est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun ! Kamerun !"
Poème
de l’instant
Le mot
J’ai arraché le mot aux crevasses de la langue, l’ai amené et planté dans mon jardin, que j’ai désherbé, labouré, arrosé, jusqu’à ce que le mot germe, fleurisse, emplisse le jardin de son parfum.
Arpi Voskanian, « Le mot ».