Jean-Marie Berthier

Il a enseigné le français sur les cinq continents. De la sorte, son œuvre poétique se veut un chant d’amour et de fraternité traversant les montagnes de Haute-Tarentaise, les forêts du Cambodge ou les déserts d’Afrique, les musiques d’Amérique latine, les soleils couchants du Mékong ou les îles perdues d’Océanie.
Il n’écrit pas tout seul, mais avec les hommes de la Terre car il est persuadé que, quelque part dans le monde, des hommes ou des femmes participent à l’écriture de ses poèmes, à leur achèvement, par le regard même qu’ils porteront sur eux, ajoutant leurs images, leurs révoltes, leurs cris, leurs silences. Un sourire, la vie, la mort. Puisque le rôle du poète est d’ouvrir, et non pas de fermer…
A enseigné le français et la pédopsychologie sur les cinq continents :
Dakar (Sénégal), Saïgon, Dalat, Nha-Trang (Sud-Viêt-Nam), Montevideo (Uruguay), Vientiane (Laos), Djibouti (République de Djibouti), Anjouan (République fédérale islamique des Comores), Aboisso (Côte d’Ivoire) et Nouméa (Nouvelle Calédonie). Il a animé des ciné-clubs, des conférences, des causeries et débats autour de la poésie, des groupes de réflexion. Il a créé des bibliothèques mobiles (à l’étranger) et a été responsable d’« activités socio-culturelles » dans plusieurs établissements scolaires de l’étranger.
Il collabore à de nombreuses revues et anime des ateliers d’écriture.
Bibliographie
Laissez venir à moi la tristesse des montagnes, Editions Edelweiss, Illustration de Florian Marco.